envie de mourir
Je ne sais plus par quoi commencer, le larmes coulent le long de mes joues. Je suis si triste, rien ne va plus.
Pourquoi ? Pourquoi le sort s'acharne-t-il sur moi ?...
Mon Dieu, Aidez-moi je n'en peux plus d'être forte...
Je ne sais plus par quoi commencer, le larmes coulent le long de mes joues. Je suis si triste, rien ne va plus.
Pourquoi ? Pourquoi le sort s'acharne-t-il sur moi ?...
Mon Dieu, Aidez-moi je n'en peux plus d'être forte...
Je craque, je craque, cette vie n'est plus vivable !
Je veux m'en sortir, et je veux vivre et ne plus survivre
J'ai passé tant de temps à attendre des jours meilleurs
Tant de temps à serrer les dents...
J'attends, j'attends mon salut
Qui peut m'aider à quitter ce monde de pourris...
Toi peut-être ? Toi
Après 1 an d'attente, 1 an à ronger mon frein,
1 an à passer de médecin en médecin,
1 an à pleurnicher, 1 an à y croire sans y croire
...
...
...
Aujourd'hui, je commence vraiment à y croire.
J'imagine mon premier footing sans douleur :
cheveux au vent, le long de cette belle Loire et ces magnifiques couleurs,
Je sens déjà le vent caresser mes joues, et cette sensation de liberté que j'aimais tant...
Pas de problème, j'accepterais sans me plaindre toutes formes de courbatures.
D'ailleurs elles me manquent tellement ces courbatures...
Attendez-moi...J'arrive...
Je ne rêve plus, je ne dors plus...
Je suis devenue une autre, une autre que je déteste...
Tant d'années à me construire pour n'être plus que l'ombre de moi-même.
Et je ne peux rien y faire...
Même ce Courage qui a fait de moi celle que je suis (j'étais) n'y peut rien...
Quelle tristesse : mon sort est entre les mains de ceux "qui piquent comme ils pissent"
...
Je suis anéhantie, je n'ai plus envie de rien, rien...
Puisque ma vie n'est aujourd'hui plus grand chose...
Oui, certains diront que "la vie continue", "qu'il faut rebondir", " que ce n'est qu'un dur moment à passer"...
Tout cela je le sais mieux que quiquonque : le combat de la souffrance est mon sujet de prédilection...
Avec la souffrance nous sommes amies : on se connait bien...:
"Tu veux ma peau vieille peau ?
Pour l'obtenir, il va falloir te battre car tu connais bien mon fichu caractère !
Oui, tu m'as terrassée, mais les braises de Samira brûlent encore..."
"Ceux qui piquent comme ils pissent" peuvent peut-être raviver les flammes de ma vie...
A suivre...
Je pensais que l'orage était passé,
Je pensais que plus rien ne pouvait me blesser.
J'ai survécu pendant 5 années, sans perdre de vue le bout ce tunnel
J'ai tenu contre vents et marées en espérant l'aide de l' Eternel.
La Justice universelle, voilà ce qui m'a fait tenir...sans jamais fléchir.
Parfois chêne, parfois roseau, je me suis souvent sentie défaillir...
Au fond du désespoir, j'essayais de garder le sourire
Pour me convaincre que ce n'était rien
Et pour donner l'image que tout va bien.
L'orage est passé, et je suis encore blessée...
Si fatiguée, si fragilisée...
Des tas de choses continuent à me blesser
Qu' a fait la Justice Universelle pour m'aider ?
Le bonheur, il me paraît si loin et si proche
Que faire pour que je m'en rapproche ?
Que faire pour le vivre sans souffrir, sans trahir ?
J'aimerais tant cesser de mentir...
J'aimerais tant courir...
J'aimerais tant ne plus souffrir pour m'épanouir...
J'aimerais tant qu'il n'y plus les "j'aimerais tant" que je viens d'écrire.
j'aimerais tant t'aimer sans me cacher.
Je l'aime si fort :
Il est mon énergie, mon envie de vivre...
Il est mon calmant, il est si apaisant...
Il est cette épaule si réconfortante...
Il est cet ange venu du ciel...
Cet ange que je n'attendais pas...
J'espère être à la hauteur de cet amour...
J'espère ne pas perdre les pédales
à cause de ce que les autres veulent pour moi.
J'espère être Moi avec Lui.
J'espère tant de choses ...
tant de choses...
tant...
Et si la vie était simple...
Si je pouvais te prendre la main et marcher, marcher...
Sans crainte, sans peur du lendemain.
Si je pouvais vivre nos éclats de rire
Sans penser à ces barrières...infranchissables.
Si je pouvais t'aimer sans culpabiliser
Si je pouvais penser à toi sans penser au pire...
Si je pouvais n'être qu'une et t'aimer sans compter, sans penser, sans retenue...
Alors la vie serait merveilleuse...
Mais ce ne sont que des "si".